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La presse magazine

 

Les magazines grand public constituent une sorte de spécialité française. Il s’en vend plusieurs milliers, alors même que chaque année plusieurs centaines de nouveaux titres font leur apparition. Dans un premier temps plutôt hebdomadaires, généralistes ou traitant de domaines assez larges, ils sont de plus en plus mensuels, développant des contenus aux thèmes toujours plus précis. Dans les titres dits " à pôles d’intérêt " les diffusions dépassent rarement quelques dizaines de milliers d’exemplaires, ce qui n’empêche pas les grands hebdomadaires de télévision ou les féminins populaires d’atteindre ou de dépasser les deux millions d’exemplaires. Au cours des vingt dernières années, leurs ventes globales ont progressé de quelque 65 %. Les principaux segments sont la presse de télévision, les journaux féminins, les magazines d’actualité, la presse économique, la presse générationnelle (jeune et senior), enfin la presse à pôles d’intérêts (loisirs, découverte, activités, hobbies, etc.).

Illust:
Kiosque à journaux à, 8.2 ko, 200x133
Kiosque à journaux à Paris.
© Claude Stéfan / M.A.E.

La rentabilité économique des groupes de presse magazine est souvent excellente, même si là encore les recettes publicitaires ne sont pas exceptionnelles (de l’ordre de 40 % des ressources). Les groupes français sont souvent largement internationalisés, à commencer par Hachette Filipacchi Médias (HFM) - Elle, son titre phare, est publié dans trente pays et comporte autant d’éditions différentes - alors que plusieurs grands groupes européens développent leurs activités en France (Bertelsmann, Emap, Bauer, etc.). A côté des magazines grand public, un secteur de presse technique et professionnelle a lui aussi fortement prospéré. Il est également très rentable, fortement internationalisé, la plupart des grands titres étant contrôlés par des groupes européens (Wolters Kuwer, etc.) ou des fonds de pension internationaux.

La radio

 

Après sa libéralisation engagée au début des années quatre-vingt, la radio se présente sous la forme de trois grandes stations généralistes (RTL, France Inter, Europe 1), de réseaux thématiques (en majorité musicaux, mais aussi d’information ou communautaires), de radios locales privées, ainsi que plusieurs centaines de radios associatives locales. Désormais le média combine à la fois un secteur public (Radio France, RFO (Réseau France outre-mer) et RFI (Radio France internationale), qui réalise un quart de l’audience, et un secteur privé dans lequel cohabitent de grands groupes de communication (Hachette-Lagardère, Bertelsmann), des entreprises nationales (NRJ), ainsi que de toute petites structures. Depuis le milieu des années quatre-vingt, les radios thématiques et locales dépassent en audience les stations généralistes. Enfin la France a voulu très tôt assurer par la radio une présence dans le monde à travers RFI.

L’audience des radios généralistes (en %)

  1999 2000 2001 2003*
RTL 17,9 15,1 13,3 11,9
France Inter 9,5 8,9 9 9,1
Europe 1 6,9 8,9 8,7 7,4
* Données pour septembre-octobre 2003. Source : Médiamétrie.

La télévision, sous toutes ses formes

 

Il aura fallu près d’une décennie (1985-1995) pour qu’un nouveau paysage de la télévision se dessine, offrant désormais une diversité de programmes, d’opérateurs (publics et privés), de modes de diffusion et d’accès. Depuis la loi de 1986, l’ensemble du secteur de la télévision (ainsi que de la radio), se trouve placé sous l’autorité d’une instance de régulation, le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). C’est lui qui attribue les autorisations d’émettre aux opérateurs privés. Il vérifie le respect des obligations (notamment de service public) contenues dans les cahiers des charges. Il surveille le respect des textes (lois et règlements) dans des domaines tels que le pluralisme de l’information ou la protection de la jeunesse. Il lui revient également de nommer les présidents des sociétés publiques de radio et de télévision.

Le secteur de la télévision se présente aujourd’hui selon deux grands ensembles que sont, d’un côté, les sept chaînes hertziennes et de l’autre, des " bouquets " de programmes accessibles par le câble, le satellite et dans un avenir qui reste à définir le numérique hertzien. L’offre hertzienne est composée à la fois de chaînes généralistes privées (TF1 et M6) et publiques (France 2 et France 3), ainsi que de chaînes thématiques, de divertissement (Canal+), éducative (France 5) ou culturelle (Arte, la chaîne franco-allemande). Les bouquets de programmes mettent principalement en concurrence deux grands opérateurs, Canal Satellite et TPS, alors que le câble reprend les mêmes types de programmes, au gré des différents opérateurs. Les télévisions locales hertziennes sont peu nombreuses, limitées à quelques grandes villes (Lyon, Toulouse, Clermont-Ferrand, Bordeaux), leur viabilité économique n’étant toujours pas démontrée. M6 et surtout France 3 assurent, quant à elles, des décrochages locaux d’information.

La grande majorité des programmes hertziens (hormis Canal+) est accessible moyennant le paiement d’une redevance, qui rémunère les radios et télévisions publiques. L’accès aux télévisions par câble et par satellite, ainsi qu’à Canal+, nécessite un abonnement. Aujourd’hui les chaînes hertziennes représentent 75,9 % de l’audience. L’abonnement aux différentes formes de télévision payante touche un peu plus de dix millions de foyers français.

L’audience des chaînes hertziennes (en %)

TF1 32,7
France 2 21,1
France 3 17,1
M6 13,5
Canal+ 4,0
France 5 4,1
Arte 3,5
Total télé publique 45,8
Total télé privée 50,2
Source : Médiamétrie.

Internet et multimédia

 

Illust:
Un cybercafé à Paris., 8.8 ko, 200x198
Un cybercafé à Paris. 77 % des
connexions à Internet se font à
domicile et 38 % sur le lieux
de travail.
© F. de La Mure / M.A.E.

Du point de vue de l’internet et du multimédia, la situation française est paradoxale. D’un côté la France a été en pointe dès les années quatre-vingt avec la diffusion massive du minitel, sans équivalent dans le monde. De nombreuses applications d’information spécialisée, de messagerie et courrier électronique, de transaction, de banques de données, grand public ou à usage professionnel ont pu s’y développer davantage qu’ailleurs. En même temps un retard a été pris dans l’équipement en micro-ordinateurs domestiques, à usage d’applications CD-Rom et surtout d’accès à l’internet. Durant les dernières années de la décennie quatre- vingt-dix le décrochage était devenu patent au regard de nos voisins européens et les pouvoirs publics ont dû prendre de nombreuses initiatives en faveur de " la société de l’information ", visant à combler le retard.

Les usages des internautes en Europe (en %)

  France Allemagne Royaume-Uni Moyenne
UE 15
Courrier électronique 75 75 83 79
Chercher des nouvelles 66 74 66 74
Chercher des renseignements pour les voyages 57 66 74 63
Améliorer la formation, l’éducation 41 51 43 46
Chercher des renseignements sur la santé 26 40 44 38
Effectuer des opérations bancaires 30 33 30 31
Trouver des offres d’emplois 30 35 35 31
Réserver des spectacles 23 31 36 29
Participer à des forums 24 22 18 24
Source : Eurobarometer, 2003.

Du point de vue des contenus ou de la fourniture d’accès, les opérateurs français ont d’abord été très prudents, avant de se lancer avec beaucoup plus de moyens, dans des directions très variées, surtout après 1998. Le retournement de conjoncture les a pris de plein fouet, alors qu’aucun n’avait réussi à rentabiliser, ni même équilibrer cette activité. Les abandons se sont multipliés, le plus spectaculaire étant celui de Vivendi. Tous les éditeurs réduisent leur activité et cherchent à se recentrer sur des secteurs capables d’attirer des recettes publicitaires, voire de générer des abonnements (Le Monde, Bayard Presse, etc.). Du point de vue de la fourniture d’accès, France Telecom occupe une place de choix avec sa filiale Wanadoo. Il se trouve un peu seul face aux grands opérateurs mondiaux de type AOL. En France, comme ailleurs, si la fourniture d’information doit encore faire ses preuves et trouver son économie, en revanche l’internet commercial semble décoller, tout comme le moyen de communication et de dialogue, avec les " chats ", pour des publics souvent jeunes.

Évolution de l’équipement en micro- ordinateurs et d’accès à l’internet (en %)

  1998 1999 2000 2003
Ordinateur personnel 23 28 34 43
Accès internet à domicile 4 6 14 27

 

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